Une jeune fille qui pleure (libre)

Invité

C'était une nuit sombre, la Lune formait un des plus belle arc. Dans la foret des pleures se fit entendre. La voie d'une jeune enfant de 9ans recouverte de sang, le regard figé. Ses larmes qui couraient sur sa joue étaient d'une transparence qu'on n'en voyait que leurs trajets mais, pas les larmes. Que aurait 'il pu se passé pour qu'elle fut à ce point touchée pour ne pas remarquer qu'un loup était en train de tourner autour telle un requin qui tourne autour sa proie. On pouvait entendre d'un murmure très faible des mots, non des phrases.

"Qu'ai je fait ? Pourquoi ? Professeur... Snif"

Dans sa tête, les images défiler, une horreur, la vue de son enseignant mort et de son tuteur, se faire dévorer par une chose morte qui bouge. Elle avait une pensée en tête, pourquoi cela tombe sur elle ? Elle n'avait rien fait pour mériter ça. Elle mit ses main sur son visage, et ramena c'est jambe contre son torse. Des souvenirs heureux revinrent à l'esprit, mais à chaque fois interrompu par une image de frayeur. Le loup lui continua à s'avancer en sa direction toute en grognant, prêt à bondir au moindre mouvement. Le grognement s'estompa et l'animal bondi sur la jeune fille sans défense quand, une barrière magique la recouvrit. Comment aurais pu-t-elle cela, elle qui n'a jamais eut de don, et autre chose surnaturel. Comment ce fait il qu'elle n'est rien eu, elle ne comprenait plus rien. Elle est maintenant dans la plus grande confusion, sous le choc, elle ne pensa plus à rien, ses pupilles dilater ne laissaient plus voir ses yeux marrons. Mais les mêmes mots se firent entendre encore et encore.

"Qu'ai je fait ? Pourquoi ? Professeur..."

Le loup était retenu par la barrière de la jeune fille, hélas sur terre les énergies magiques étaient si faible que le bouclier que ce dernier allait bientot céder.
Le canidé se léchait deja les babines, pour lui c'était jour de fête un tel repas ne se présenterais plus avant de longues années. L'animal attendait son heure, bientot elle allait arriver, plus que quelques secondes et il allait déchiqueter de la chaire fraiche puis un bruit se fit entendre, le loup a l'ouïe fine l'entendit et se tourna vers la source de ce bruit.
Sortant de la végétation luxuriante de la foret, un homme grand au teint mat et tatoué sur le visage apparue. Il était habillé sobrement mais affichait un air farouche, le loup tressaillit mais grogna pour montrer qu'il était prêt à en démordre.
L'homme sourit à l'animal et commença à s'anvancer.

- Disparait d'ici Lupus, tu ne goutera pas à de la chaire d'un être innocent !

Le loup perdit toute contenance et partit la queue entre les jambes.
L'inconnu veilla à se que l'animal sois bien partit avant de se tourner vers la pauvre jeune fille. Il commençait à avancer doucement vers elle et regarda si elle n'était pas blesser.

- N'est pas peur, je te veux que du bien.
Je me prénomme Elias. Ca va tu n'es pas blessé ?

Invité

La jeune fille ne faisait plus attention à rien, elle vit juste le loup se lécher les babines. Rien ne pouvait la perturber, même l'homme qui arriva de la végétation luxuriante. Le loup parti la queue entre les pattes, Rin ne bougeais toujours pas, telle une poupée grandeur nature, elle était encore ravagé par les mêmes images, les mêmes mots se fit entendre encore une fois quand l'homme lui adressa la parole. Kokonoe ne dit plus un mot, elle leva la tête en sa direction, le regard toujours vide. Puis d'un signe de la tête, elle dit oui. mais ne bougé pas pour autant. Elle se remise à pleurer, toute en tendant les bras vers l'inconnu. Elle voulait être consoler peut-être, ou alors un réflexe du a une vision, celle de son enseignant si gentil de qui elle était amoureuse.

"Professeur... Snif"

Elle se mit sur ses jambes et commença à avancer vers l'inconnu toujours sous l'emprise de son hallucination. Rin l'encercla par la taille toute en pleurant.

"Professeur... Snif... Vous n'êtes donc pas... mort ?"

La jeune fille ne contrôlait plus ses gestes, elle le regarda par amour et par tristesse comme elle avait toujours les mêmes images en mémoire. Mais c'est yeux resté vide, comme elle était encore sous le choc et ne voulait pas s'avouer la vérité. Son enseignant était belle et bien mort, quand cela lui traversa l'esprit, elle tomba à genou...

"Vous... Vous êtes mort, je vous ai vu mort devant moi... Snif
Pourquoi ? Je... Je... vous aimais... Snif"

Elias s'agenouillât près de la petite fille et il comprit que la jeune fille était sous le choc. Elle avait du assister à quelques choses de terrible pour son âge, elle avait l'air si innocente songea Elias.
Il sortit une gourde d'eau et en versa un peu sur le visage ensanglanté de l'enfant pour le lui retirer, l'eau était froide et allait certainement faire revenir la fillette à la dure réalité. Cela aussi allait effacé un l'odeur de sang qu'elle avait pour ne pas attiré des prédateurs plus redoutables surtout dans une foret sur terre.
Elias fit s'assoir la fille contre un arbre et commença a la débarbouillé.

- Allons tout est fini, je suis là à présent.
Mais je suis désolé, je suis pas celui que je crois.
Je suis Elias, Elias Bardos.

Naturellement Elias ignorait tout de la jeune fille, mais deja le point le plus important était de savoir d'où elle venait et si quelqu'un l'attendait.

- Dis moi d'où tu viens ?
Tes parents doivent s'inquiéter pour toi.

Invité

L'inconnu s'agenouilla près de Rin, et lui versa de l'eau sur son visage. La jeune Kokonoe reprit lentement ses esprits, ses yeux redevenaient de plus en plus à sa couleur d'habitude, ils étaient devenues d'un marron claire et brillant par les larmes coulées. L'homme lui dit son nom, "Elias Bardos" un nom pas très connue des jeunes filles. Puis Elias lui demanda, d'où elle venait et rajouta que ses parents devaient s'inquiéter pour elle, une larme apparu sur sa joue de poupée, elle n'avait pas de parents, c'était une jeune orpheline, et les seules personnes qui s'occupaient d'elle sont morts maintenant. Rin Kokonoe leva la tête et regarde l'homme droit dans les yeux, puis elle dit...

"Je, je n'ai pas de parents...
... Et je... Reviens de l'éco..."

Elle ne finit pas sa phrase, qu'elle se mit à trembler, telle une feuille en temps de grand vent. Les images étaient réapparu dans sa tête mais elle essaya tout de même de finir sa phrase.

" De l'école... Où... Où... Snif ... Le professeur est mort..."

Elle jeta sur Elias en pleure, elle pleurait les dernières larmes de son corps, les larmes était d'un pureté et d'une tristesse qu'elle mettait du temps à traverser ses joues. Maintenant, Rin n'a plus d'endroit où vivre, et ne savait plus quoi faire...

Saphir bondissait d'arbre en arbre, se laissant tout de même tomber de temps en temps au niveau du sol afin de s'énlancer à nouveau dans la canopée. Elle était heureuse de pouvoir laisser libre cours à ses pulsions sauvages après les quelques jours qu'elle venait de passer dans une ville où la population était assez nombreuse pour l'en empêcher.
Elle s'arrêta un moment pour manger un peu puis reprit sa progression dans la nuit sous la oulette bienveillante de la lune, arc de fer argenté dans le ciel nimbé d'étoiles.
Ce n'est qu'une heure après avoir passé une petite clairière qu'elle aperçut, ou plutôt entendit, les deux personnages qui échangeaient des propos comme en plein jour.
Sauf que, si l'un des deux était grand, calme, et parlait tranquillement afin de rassurer son interlocuteur, ce-dernier était agité de sanglots et de tremblements, et ne semblait pas en état de s'apaiser.
La jeune loup-garou blonde s'éleva d'un bond jusque dans les arbres, puis les plaça à la limite de son champ de vision.

" De l'école... Où... Où... Snif ... Le professeur est mort..."

Saphir soupira et se rendit compte de l'état de la petite fille avec plus d'aciduité encore. Peut-être était-ce le fait qu'elle même n'avait jamais eu que des parents de remplacement, ou que l'étrange couple l'intriguait, toujours est-il qu'elle se laisse chuter au près d'eux.
Avant de parler, elle eut juste le temps de remarquer que l'homme sentait le loup.
Etrange.

- Excusez-moi, vous avez un problème ?

Elias se sentit idiot, il avait agrandit la peine de la pauvre petite, mais bientôt l'attention du garous vu un peu dévié par une tierce présence.
Celle ci était faible et tentait de se cacher mais sans intention hostile. Elias s'en détacha alors pour revenir à la jeune humaine qui parlait de la mort de quelqun.

- Mort ? tu es sur ?
Mais c'est très grave, tu dois bien avoir des gens qui s'inquiètent pour toi dans ton école.
Il va falloir y retourner pour...

Elias sentit cette fois l'odeur d'une personne, logique vu qu'elle venait d'atterrir derrière eux. Elias resta sur ces gardes, une personne était morte et vu l'état de choc de la fille ce n'était pas du à quelque chose de naturel. Pas besoin d'être télépathe pour s'en rendre compte.
Elias retira son manteau et le mit sur la jeune fille, les nuits son froides ici et la fillette allais en avoir besoin.
Le lycan se releva avec la gamine dans son unique bras valide (oui son bras gauche est toujours le long de son corps) et se tourna vers la jeune inconnu qui venait de s'adresser à eux.

- heu...bonsoir.
Oui on peut dire ça, j'ai trouvé cette pauvre petite dans le bois recouvert de sang.
Elle est en état de choc, vous ne savez pas ou est le village le plus proche s'il vous plait ?

Invité

[Encore désoler je mérite d'être fouetter]

La jeune fille avait sa peine agrandit, elle ignoré presque tout les dires de l'homme. C'est quand elle entendit, si il y avait des personnes qui devait l'attendre qu'elle leva la tête, le regardant d'un regard triste, essayant de lui dire qu'il n'y avait peut-être plus personne qu'il l'attendait. Kokonoe fut attraper par le jeune homme dans un seul et même bras, quand une jeune femme arriva de nul part. Cette dernière demande se qui s'était passé, l'homme lui répondit comme le tic tac d'une horloge. Le monsieur demanda où était le village le plus proche. Quand ces dires fut dit, Rin se mit à se débattre comme une folle toute en cirant.

"Non ! Je veux pas faire du mal à d'autre personnes !"

Rin n'arrivait pas à se défaire du bras de l'homme, elle se mit à pleurer. Elle a peur que tout recommence, que des choses dont elle n'a jamais vue se reproduise une seconde fois. Elle se calma vite, elle attrape l'avant bras de l'homme et se mit à regarder le sol tel un tournesol la nuit. Elle se remit ne plus penser à rien, pour enfin s'endormir de fatigue, ayant vidé toute ses larmes depuis plusieurs heures

Saphir entendit la question de l'homme, mais aperçu la fille qui bougeait avant même qu'elle puisse répondre. Petite, il se dégageait d'elle une aura inquiétante de puissance mal contenue et Saphir jugea préférable de ne pas commettre d'imprudences.

- Ne t'inquiète pas, tu ne feras de mal à personne maintenant.
Nous y veillerons, et elle lâcha cette dernière phrase en fixant ses yeux azur dans le regard de l'homme.

Saphir se redressa, vérifia que son sabre d'entraînement était bien fixé à sa ceinture et lança à celui qui sentait le loup.

- Nous devrions peut-être laver ses vêtements avant de penser à la ramener en ville , car le temps que nous y arrivions, il fera jour et tout le monde sera dans les rues. J'ai croisé un petit ruisseau en venant, ce sera peut-être suffisant ?

» Que est ce qu'elle fait la cette petite fille?(libreeee)
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