Lucréas, avait décider de s'arrêter à Dragon City, il voulait faire une halte avant de repartir. Montant son fidèle destrier, et avec la compagnie de son corbeau alors posé sur son épaule. Il entra par les Grandes Portes, plutôt d'ailleurs bien gardés, de Dragon City.
La ville était animé, et certaines personnes le dévisagèrent. Aujourd'hui il avait revêtit une longue robe à capuche noir, que l'on voit surtout sur les moines des montagnes du Nord.
Remontant la pente centrale, il arriva enfin au "Laguz D'or" une auberge disons assez mal fréquenter, mais dont la plupart ne sont que des bandits de bas étages ou mercenaire. Il pensa que s'était une bonne planque. Oui en effet, il était un fugitif, et celà ne l'aurait pas étonné que les gardes à l'entré l'est remarqués.
Arrivant donc à la Taverne, il descendit de son cheval, le corbeau s'envola pour aller sur le toit du "Laguz D'or", et il arnacha son fidèle destrier à un poteau. Prenant une fiole dans sa poche, il enduit la corde d'un liquide à l'odeur nauséabonde, et qui avait comme effet la corrosion de la peau. Au cas où un petit malin viendrais à vouloir s'emparer de mon cheval, pensa il.
Enfin, il se retourna faisant bien attention à cacher son visage à l'aide de son capuchon, et entra dans la Taverne.
Lorsqu'il ouvrit la porte, les gens assis à leur table s'arrêtèrent de parler, pour le fixer, puis reprirent leurs occupations. Peut être n'avait ils jamais vu ce personnage, et qu'il y avait beaucoup d'habituer. Puis il entendit un éclat de rire, et vu des gardes assis autour d'une table entrain de faire une partie de carte.
Il alla au comptoir, et demanda d'une voix froide et mono-corde :
Auriez vous une chambre pour cette nuit ? Ainsi qu'une Cervoise ?
L'homme le regarda, c'était un homme très frêle, décharné même. Il arborait une barbe de 3 jours grises, et sa chevelure fine et courte était de même couleur, même si il lui restait un peu de cheveux noir sur le dessus. Il était habiller comme un gentil homme, et n'avait pas l'air d'avoir besoin de problème. Malheureusement Lucréas était un problème pour beaucoup de monde.
L'homme aquiesca donc, et lui ramena une paire de clef, ainsi qu'une cervoise bien fraîche en déclarant :
Voilà l'ami, je ne vous est encore jamais vu ici. La Taverne du Laguz d'or à bien changer, j'espère que vous n'êtes pas un criminel en fuite. Sachez qu'en ce moment Une taverne n'est peut être pas le meilleur refuge.
Il dit sa dernière phrase d'un timbre plutôt bas, tous en observant les gardes assis près de l'entrée. Il confia ensuite :
Faites attention à vous monsieur, il paraîtrait qu'il y a environ une heure, les gardes ont vu, rentrer en nos mur, le fugitif que l'on appelle Spirit. Des gardes patrouillent en ville, et déconseille aux habitants de sortir. Ils ont renforcer même la sécurité du palais.
Lucréas l'observa, et fit mine de s'inquiéter. Il était toucher par l'honneur que lui faisait les Dragons, de s'inquiéter ainsi de sa présence. Mais ce que lui dit l'homme le rassura. Personnes ne savaient à quoi il ressemblait, car sinon le gérant de la Taverne l'aurait remarquer. Alors Lucréas prit une voix plus humaine et délicate et lacha :
Bien, merci à vous, je ferais attention à moi.
Dites moi j'ai une question à vous poser. Voila je suis à Dragon City, car j'ai un ami herboriste en ville. Connaissez vous "Le Lys du ..." ?
Le Tavernier, répondit immédiatement, sans laissé le temps à Lucréas de finir sa phrase :
"Le Lys du vent " ? Bien entendu que je connais, il se trouve en face de la Statue de notre Roi, dans une petite ruelle étroite. Vous ne pouvez pas le manquer.
Lucréas remercia ensuite l'homme, puis le paya, pour la chambre et la cervoise. Et s'assit contre une banquette, en retrait des gardes picolant.
Buvant une grosse gorgées de cervoise, il observa autour de lui. Rien ne semblait être bizarre ou suspicieux. Alors il se laissa un peu aller. Une dizaines de minutes passèrent, quand il entendit la porte de la Taverne s'ouvrir. Il vit rentrer cinq gardes, suivit de cinq autres, complètement en arme. Comme si la guerre venait d'être déclarer. Les hommes crièrent : A qui appartient la monture à l'exterieur, l'etalon noir ?
Il vit ensuite deux hommes entrer portant un homme avec la peau complètement brûler. Le Tavernier regarda Lucréas, celui ci se leva et déclara :
Il m'appartient.
Le garde fit un signes, et les autres s'approchèrent de Lucréas, comme pour lui régler son compte. Lucréas déclara donc :
Que me voulez vous ? Il dégaina un petit poignard à sa ceinture.
Le Garde Cria : Tu as brûler un de nos hommes, nous allons t'enfermer, comment te nommes tu ?
Lucréas ne su que dire, les gens le connaissait sous le nom de Spirit, mais aussi de Lucréas, il déclara donc :
Je me nomme Imnir, fils d'Oléron le forgeron, dans les montagnes du nord.
Le garde s'arrêta net, et dit : Tu es le fils d'Oléron le Forgeron ?
Oui je le suis.
Es tu au courant que ton village à été brûler, et que tous les habitants ont périt ?
Lucréas fut surpris, il cru être démasquer, mais finit par tomber à genoux en larmes devant les soldats. Un subterfuge qui marcha à merveilles. Tandis que les gardes le consolèrent par la parole, au bout de quelques minutes ils s'en allèrent.
Lorsqu'il se releva sourire aux lèvres, il commanda une deuxieme cervoise, et lorsqu'il s'assit, une voix vint le quérir.
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Dim 19 Sep - 23:50