Abby Leto; Whaouf ?

Invité

Carte d'Identité métamondes

Nom: Leto
Prénoms: Abby
Surnoms: Bibi & à vous de trouver :)
Date de naissance: le 13 mai
Âge: 16 ans
Sexe: Féminin
Race: Lycan
Statut de sang: Sang souillé
Monde d'origine: Terre
Informations supplémentaires

Tendances sexuelles: Bi
Alignement: Neutre
Archétype : Normal
Métier(s) & fonction: Lycéenne il y avait encore peu de temps mais c’est une vagabonde dorénavant, une mendiante tout au plus.
Guilde:
Connaissances & pouvoirs

Langue(s):
-Commune
Pouvoirs communs: Voler, télépathie, création de passages.
Pouvoirs raciaux:
~ Métamorphose en leur animal maudit et en garou [Tigre, loups, chat, panthère, etc ].
~ Damne des ancêtres [contrôle du flux des énergies magiques + contrôle de la peur des autres]
~ Dons animal [voir la nuit + ouïe très développé + Comprendre les animaux]

Pouvoirs personnels:
-Contrôle des morts
-Psychométrie (capacité de voire le passé en touchant un objet)

Arme(s):
Un poignard et un revolver.
Personnage ?

Description physique:
Je suis, d’après les confidences de mon miroir, une jeune fille tout à fait normale d’un point de vue parfaitement physique. Je mesure environ un mètre soixante-cinq pour cinquante kilos. Et ces kilos là, de graisse et de muscles, sont également répartis dans mon corps pour éviter ne serait-ce d’avoir l’air bizarre, je suis proportionnée. J’ai la peau douce et fine comme celle de la délicate soie qui s’effiloche trop facilement, la couleur elle, est rose comme si ma chair ressortait tout juste cuite du four, personnellement j’aurais aimé avoir la peau blanche qu’avoir un semblant de lien de parenté avec une « Peggy ». Quant à ma poitrine je la trouve trop petite mais étant une fille assez sportive, j’en suis plutôt contente quand l’heure de courir se fait venir. Au niveau de mon visage, disons que je suis ovale, un joli visage ovale. J’ai un nez assez court et des oreilles plutôt grandes et ornées de piercings de toutes sortes presque toujours cachés par une épaisse chevelure châtaine. Mais ce qui attire le regard sur moi c’est sans nul doute mes grands yeux bleus foncés qui inspirent la franchise et la confiance.
Et lorsque je m’habille, c’est selon mon humeur et mes goûts bien entendu, je peux être très élégante comme avoir l’air d’être une clocharde du jour au lendemain, tout dépend de l’armoire et du réveil. Bien que je traîne plus souvent en tee-shirt, jeans, basket qu’en belle robe élégante et à la mode.

Description du caractère:
Mon caractère ? On me dit instable, lunatique, agressive et gentille mais surtout contradictoire. Ou pour résumer, je n’ai pas de caractère à proprement parlé, du moins un tempérament léger qui fait qu’on ne peut pas avoir toujours, tout le temps confiance en moi.
Cela dépend en fait, bêtement et naïvement c’est un fait aberrant mais tristement vrai, de quel pied je me suis levée et de la météo qui m’accueille au rideau levé. C’est ainsi que chaque jour, on peut retrouver une nouvelle Abby. Joyeuse et euphorique jusqu’au bout des ongles pour un oui ou pour un non le lundi, pacifique et impassible le lendemain, le mercredi colérique et insupportable comme si un diable s’était épris de mon âme, le jeudi une journée aux allures normales et simples dans laquelle une douceur de vie voit une unique aube, le vendredi déprimée et vidée de tout sentiment positif où les ponts me semblent tous très jolis, le samedi endormie et épuisée d’une semaine remplie, et le dimanche religieusement sage parce qu’il faut bien que ma mère se repose, soi-disant. Mais malgré cette tourmente des sentiments, cette danse instable et ces réveils surprise, il semblerait que je suis une ligne de conduite, celle de la gentillesse et de l’humour à en voir la réaction de mes amis. Pour résumer, je suis une plante grimpante n’ayant aucun but si ce n’est de s’élever là où elle peut, mais qui s’est attachée à un tuteur et essaie tant bien que mal de suivre cette voie sans s’en détourner. Mais comme dit, ne me faîtes pas confiance, je ne sais pas moi-même ce que je ferais si on m’annonçait un grand secret.

Biographie:
Mon histoire a tout juste commencé, je ne fais que débuter une nouvelle vie, vivre dans un autre monde, effrayant pour moi qui n’était qu’une simple humanoïde, mais je rends grâce à Dieu pour m’avoir offert l’étendu des possibilités de notre univers. Je le sais aujourd’hui, nous ne sommes pas seuls, nous ne sommes pas si uniques que cela, il y a dans d’autres mondes des créatures angéliques tout droit sorties de l’imagination de l’Homme et d’autres de ses cauchemars qui y vivent pour de vrai, pour de bon. Peut-être que les comptines de nos enfances ne sont pas si originales que cela et que les mythes, les histoires et tout le répertoire du fantastique ne soient que du vécu. Mais je vous l’assure, ces êtres sont biens vivants, existent réellement et certains font partie de nos vies sans même qu’on s’en soucie ! Je pense que quand on y croit, ce sont ces créatures elles-mêmes qui viennent à nous, par invocation, prière, bénédiction, provocation, et je suis sûre qu’ils en existent une centaine de plus de ce que j’ai pu apercevoir. Enfin, je l’espère. Malgré ce bonheur, je dois dire que je suis porteuse désormais d’une malédiction qui se transmet par naissance ou bien par morsure/griffure, celle-ci m’effraie plus que je ne le fusse avant et je ne peux pas m’en réjouir.
Voulez-vous connaître mon histoire ?
Alors pour cela, il va falloir être patient, car je vais commencer par le jour d’une rencontre merveilleuse, celle évidemment de ma mère et de mon père.
Cela s’est passé à Paris, ville des amoureux et de prestige sans étonnement, alors que ma mère, petite fleuriste d’un coin de rue charmant fréquenté que par des personnes amicales et aux airs bienveillantes, rencontra un touriste américain qui vint lui demander dans un français maladroit s’il pouvait se payer les petites roses de la boutique comme n’importe quel client. Il avait dû être charmé, car environ tous les jours, il revenait pour en acheter de nouvelles et, au final, ils finirent par devenir amicaux et ma mère lui proposa dans une fin d’après-midi de prendre un petit café dans un parc sympathique, calme et sans pollueurs de paysage. Et bien sûr, la nuit fut explosive ! Et notre bel américain s’en alla sans se soucier de ma mère qui en fut assez bouleversée. Malgré cela, elle choisit de me garder, elle m’avait dit, je m’en souviens, que je n’étais pas responsable et que si j’étais là, je méritais ma chance. C’est pour cela que je l’aime. Alors bien sûr, seule et avec de maigres ressources, elle ne pensait pas voir le bout, mais elle avait des amis pour la soutenir pendant cette épreuve. Et finalement, au moment de la naissance, tout se déroula sans un souci. D’après elle, je n’ai crié qu’une seule fois, j’ai pleuré quelques larmes avant d’être toute calme et de me blottir contre elle et de goûter à son sein. Elle m’avait dit que j’étais merveilleuse, que ma naissance fut un moment magique presque irréel pour elle, que j’étais un cadeau plus qu’un fardeau. Bien que plus tard, je dus lui faire du mal… .
Enfin, j’ai passé une enfance relativement tranquille, mes années à la maternelle et au primaire se passèrent sans une embrouille, sans une crevasse sur la douce route de l’enfance. Mais dès le collège, il faut croire que le diable prit possession de moi car je devins, paraît-il, insupportable. Je me comportais comme une enfant pourrie gâtée, je voulais que tous m’admirent que tous m’envient, je piquais des crises de colères inimaginables et je cassais les pieds à tous mes professeurs qui ne manquèrent pas de me poser des avertissements de comportement. Et puis au final, je me suis retrouvée seule, alors il a bien fallut changer. Changer de collège et recommencer sur de bases nouvelles. C’est ainsi que je suis arrivée dans mon année de quatrième dans un petit établissement pas très réputé mais sympathique, j’ai pu rencontrer des gens calmement et simplement, me faire des amis pour de bon. Bien qu’ayant toujours un mauvais caractère de cochon, je pus mieux vivre cette année là. Et au fil du temps, la bohème adolescente prit place, je vécu ces changements comme tout le monde, je prenais un peu un nouveau corps et en découvrait d’autres au grand damne de ma mère qui pensait que j’étais toujours une personne insouciante et inconsciente de ce qui l’entourait, toujours autant têtue comme une mule, ne faisant qu’à sa tête, sauvage dans sa façon d’être et belle comme une fleure sauvage.
Et puis, lors d’une soirée organisée par un ami proche, là où l’alcool coulait à flot et les drogues circulaient avec aisance, je passais une bonne soirée sans pour autant tomber dans un grand excès de n’importe quoi, bien que je rentrai soûl comme un trou chez moi.
Mais ce qui m’intriguait au réveil ce n’était pas l’habituelle douleur à la tête qu’on a quand on abuse, mais celle au bas du dos, aux bras et à mon cou. Un simple passage dans la salle de bain et je pus voir dans un reflet toutes ces immenses marques de griffures et de morsures sanglantes ! La première chose que j’ai faîte, ce fut de me soigner bien sûr, puis d’appeler quelques amis qui par hasard ne m’auraient pas raccompagnée. Et après quelques échanges téléphoniques, j’eus enfin la raison : un chien sauvage et fou m’aurait sauté dessus avant de repartir sous les coups de mes braves amis. Ne pouvant que leur faire confiance, je buvais cette excuse.
Mais chaque soir environ, je me réveillais salie par la terre, engluée dans une sorte de bave et de feuilles vertes, et des branches ornaient ma chevelure, avec des blessures en plus. J’avais beau chercher une raison à ce « phénomène », aucune raisonnable ne me venait à l’esprit, sauf le fait d’être somnambule… Mais un homme bizarre dans l’ensemble vint contredire ma théorie alors que j’allais la dévoiler à ma mère et donc sûrement à un docteur. Il me dit exactement ces mots là :

« Ha non ! Encore un… ou une pour toi ! J’en ai vraiment marre des crétins qui se baladent en ville n’importe où et mordent aux hasards ! Ha, ça en fait des malheureux après tout ! Bon j’vais devoir t’expliquer parce que sinon la cheftaine de la meute va encore m’en vouloir pour ne pas avoir recueilli une « orpheline ». Bref, tu te souviens sûrement de la nuit ou tu as été mordue par une espèce de gros chien sauvage ? Et bien c’était un loup-garou, bawé me regarde pas avec tes grands yeux comme ça ! Sinon, pourquoi tu te réveillerais salie dans la terre et blessée chaque nuit, bawé t’avais qu’à fermer les rideaux et descendre les volets de ta chambre au lieu de te laisser charmer par les rayons de la lune ma grande ! … Là n’est pas la question hein ? Enfin je dois aussi te dire ça car les jeunes comme toi ne maîtrisent pas leurs pouvoirs … bawé tu en as maintenant, haha ! En fait, tu es devenue une lycan, une louve, une femme-loup, une Garou quoi ! Allez suis-moi ! Je n’ai pas que ça à faire que de récupérer les chiens sans collier dans la rue. »

C’est ainsi que je disparus du lycée, de la vie de ma mère, pour rejoindre une autre ville en Europe, avec une nouvelle famille, une meute. Mais je ne suis pas restée longtemps dedans, je trouvais les règles trop strictes et, même avec mes difficultés sur la maîtrise de mes nouveaux pouvoirs (dont je ne connais pas l’étendue), ils me laissèrent partir. Et me voilà lâchée dans la nature sans savoir où aller.

Animaux d'compagnie: Non
Autre ?: Je compte jouer ce personnage à la première personne donc pas souvent, m’en voulez pas, Shona passe avant le reste 8D
HRP: Vous ?

Prénom & âge: Mélanie & 15 ans
Connaissance du forum d'où ?: D’une certaine Shona elle est formidable 8D
Règlement accepté ? Oui 8D

Mdrr, Jdois te la valider ta fiche, miss? :-°

EH BAH JTE LA VALIDE PAS! Corrige-moi tout ça! >=P

*SBAF*

Certes c'est mon boulot. Mais bon... xD

Bon si c'est que pour des fautes d'orhto on va pas refuser une validation.

Moi je valide et je te donne le rang !